Attention gros pavé, j'ai réussi à me rappeler tout les détails de mon rêve de cette nuit.
Contexte
La partie sur le magasin de jeu-vidéos provient probablement du fais que je sois passé à la fnac avec le même pote qui est dans mon rêve hier.
La partie soirée, c'est cette fille mignone qui m'a dragué en soirée mais que j'ai laché d'un coup pour rentrer chez moi parce que la soirée était nulle.
Le port de plaisance, c'est celui le Mèze où j'ai passé une journée pendant l'été.
Pourquoi Suresnes ? Parce que j'ai pris le tram 2 hier et que c'est une des stations.
Maison-Alfort ou le paradis méditerranéen
Tout commençait à Maison Alfort. j'étais avec un ami et nous étions dans une boutique de jeux-vidéo à la recherche d'une perle rare. Au comptoir, deux jeunes filles charmantes nous attendaient pour engager la conversation.
Je m'approchais tandis que le comptoir était devenu le trottoir d'une rue parisienne en fin de soirée plutôt alcoolisée. Les deux jeunes filles étaient assises sur ce trottoir, elles semblaient éméchées. Nous étions en train de discuter de la soirée qui venait de s'achever, l'une d'elle, celle qui m'interessait, me demandait ce que je faisais dans une soirée à Maison Alfort, je lui répondais tout simplement que je n'habitais pas très loin, à Ivry plus précisément et qu'il me suffisait de traverser Suresnes pour venir. Je fis une blague sur le fait que selon elle, les ivriyens n'avaient pas le droit de traverser Suresnes pour venir à Maison Alfort. Elles rirent.
Nous décidâmes alors de les laisser et de sortir du magasin de jeux-vidéo, en sortant je remarquais, posé sur une vitrine, une PS2 avec une étiquette "PS2 console rétro 500€". Je me retourna pour voir la jeune fille au comptoir, elle semblait déçue.
En marchant dans Maison Alfort, on arriva sur le port de plaisance, il faisait beau, c'était l'été. J'étais tout seul et c'était la guerre. Les alarmes annonçaient un bombardement imminent des allemands, il fallait que je trouve un abri mais je n'étais pas préssé. Je me réfugia dans un salon de coiffure africain, le genre de coiffeurs qui m'interpellent à la sortie de Strasbourg Saint-Denis avec leurs "Une coiffure, 10€, pas cher". Les bombes pleuvaient mais étaient particulièrement précises, elles ne tombaient que sur une personne à la fois, ne tuant qu'elle et ne faisaient aucun dégât matériel. Depuis le salon de coiffure nous assistâmes à la scène et à chaque fois qu'un passant se faisait toucher par une bombe nous criions "Aaaaaaaaah ollééé !".
La télévision annonça la fin des bombardements et je décida de prendre la ligne 8 pour rentrer chez moi mais je n'avais pas envi et je me plaignais du fait que c'était trop loin et qu'il était déjà tard.
Fin.